Ne jamais dormir dans une ville surplombée par ses morts. (Descartes, 2 avenue du Président Kennedy)
Catégorie : Indre-et-Loire
bar
Personne n’oserait appeler son bar La Comédie humaine. (Saché, 11 rue principale)
accroupi
Un instant te dire que c’était peut-être toi qu’il attendait accroupi dans ce carrefour. (Descartes, Rue du Commerce)
maison fantôme
Imaginer marcher chaque nuit en rêve dans l’autre moitié de la maison; et revenir au réel à la sonnerie des cloches. (Semblançay, rue Louis Jérôme Gohier)
maïs
S’arrêter parfois; et écouter le frottis du vent dans les maïs; à des riens comme ça qu’on tient. (Descartes, au-dessus de la commune)
ciel
Penser «Dans l’uniforme restent les ciels.». (Descartes, Avenue Jean Monnet)
bizarre
Se dire «Et si c’était l’autre langue qui aidait à pousser la porte ?»; elle qui permettait de porter traces sur son corps; se demander «Ça donnerait quoi Tatouage bizarre sur la vitrine ?»; et ce que le singulier implique de silhouettes qui s’animent et quittent votre peau; pénètrent le corps et l’esprit. (Neuillé-Pont-Pierre, […]
cirque
Se souvenir de ce rêve de gosse : conduire la voiture qui annonce le spectacle du soir; penser «Tu lui dirais quoi au monde ?». (Langeais, viaduc de l’A85)
couleurs
Penser «La couleur ne suffit pas pour résister aux forces de ce monde-là.». (Neuillé-Pont-Pierre, Avenue Louis Proust)
impasse
C’est souvent les rues Balzac; toujours pensé à l’indicatif téléphonique dans les vieux films; j’aime pas ces rues qui se terminent en impasse; à cause du demi-tour c’est une perte de temps; penser qu’il y a des confettis comme ça qui résistent; alors aller jusqu’au bout du bout et saisir ce qu’on peut. (Notre-Dame-d’Oé, rue […]